Voyage Cambodge - informations generales sur le Cambodge

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INFORMATIONS GENERALES SUR LE CAMBODGE


Cambodge       
  • Superficie : 181 035 km²
  • Population : 15,71 millions d'habitants (2015)
  • Capitale : Phnom Penh
  • Religion : bouddhisme
  • Régime politique : monarchie constitutionnelle à tendance autoritaire
  • Langue: Khmer (officielle principale), anglais, français
  • Monnaie : le riel
  • Climat : tropical humide
  • Le littoral : 443km
  • Aéroports : Phnom Penh International (PNH), Siem Reap International Airport, & Sihanoukville Airport
  • Pays frontaliers: Laos 541 km, Thailand 803 km, Vietnam 1,228 km
  • Sites inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco : Angkor (1992), et le temple de Preah Vihear, situé à la frontière du Cambodge et de la Thaïlande, classé depuis le 7 juillet 2008
 
Le Cambodge nous inspire souvent les  temples anciens et mystérieux d'Angkor. Certes, les temples d’Angkor - témoin de l'empire khmer puissant, qui sont classés parmi des  merveilles du monde méritent d’être admiré pour la beauté et la majesté. Pourtant, savez-vous que le Cambodge abrite des autres beautés attirant pour les touristes : la capitale Phnom Penh avec les palais majestueux, les plages dans la province de Sihanoukville et les îles paradisiaques au large méridionales du pays. De plus, les khmers qui occupent 85% de la population cambodgienne ont créé une impression profonde chez les touristes. Ils semblent les plus sympathiques et les plus heureux. Le sourire khmer se présente partout, tel qu’il était dans les contes de fées et dans les traditions du pays. 

Pour préparer le voyage au Cambodge, Hallo Vietnam Travel vous fournit des informations générales sur le Cambodge:

CLIMAT
Situé dans la zone tropicale des moussons, le Cambodge connaît deux saisons distinctes: la saison des pluies et la saison sèche.
La saison des pluies: De Juin à Octobre 27-35oC (80-95.f)
La saison sèche et fraiche: De Novembre à Février 17-27oC (80-95.F)
La saison sèche  et chaude: De Mars à Mai 29-38oC (84-100.F)
Veuillez continuer avec notre rubrique quand partir au Cambodge pour les informations pratiques sur les meilleurs périodes à visiter le Cambodge.
 
 
POPULATION
Les Khmers représenteraient l'ethnie majoritaire (85,4 %), les Viêt (7,4 %), les Chams (3,5 %), les Chinois (3,2 %), les Kui (0,2 %), Mnong ou Pnong (0,2 %), Tampuan (0,2 %), Laos (0,2 %), Jaraï (0,1 %), Kru’ng (0,1 %), Malais (0,1 %), Taï (0,1 %), Chong (0,1 %)…
 
RELIGION
Le bouddhisme Thearavada est la religion officielle au Cambodge qui est pratiqué par 95% de la Population- c’est comme en Thaïlande, en Birmanie, et au Sri Lanka.
Cependant, le Christianisme et le Cham musulman sont actifs et populaires parmi un grand nombre de la population aussi bien dans la capitale et que dans les provinces, montrant un signe de la croissance. Taoïsme et Confuism sont aussi couramment pratiqués parmi les chinois.
Les moines bouddhistes sont très disciplinés et doivent suivre 227 règles en plus des dix préceptes de base d'un bon bouddhiste. Les moines ne peuvent pas prendre part dans le divertissement. Ils vivent une vie simple dédiée au bouddhisme et au temple.
 
Les bouddhistes voient l'univers et toute la vie dans le cadre d'un cycle de changement éternel. Ils suivent l'enseignement du Bouddha, un prince indien né dans le sixième siècle av JC. Les bouddhistes croient qu'une personne est continuellement renaître, sous une forme humaine ou non humaine, en fonction de ses actions dans une vie antérieure. Ils sont libérés de ce cycle que lorsque ils atteignent le nirvana, ce qui peut être atteint en réalisant un bon karma grâce à gagner du mérite et suivant la voie bouddhiste de vie correct.
Gagner du mérite est un important de la vie bouddhiste. Les bouddhistes au Cambodge gagnent du mérite en donnant de l'argent, des biens, et participent volontairement aux travaux des temples, ou en fournissant un des deux repas quotidiens aux moines.
 
Les enfants s’occupent souvent des jardins d’arbres fruitiers et de légumes à l'intérieur de leur wat ou temple local. Les garçons peuvent gagner du mérite en devenant serviteurs du temple ou moines novices pendant une courte période. La plupart des jeunes hommes restent moines pour moins d'un an.
 
UN PEU D'HISTOIRE
Le Cambodge actuel se veut l’héritier de l’empire khmer qui dominait la majeure partie de la péninsule indochinoise au XIIe siècle. De nombreux temples furent érigés sur l’ensemble du territoire, dont le plus notable est Angkor Vat. S’en suivra un long déclin au profit du Siam à l’ouest puis de l’Annam à l’est ; paradoxalement, cet affaiblissement ne prendra fin qu’avec la mise sous tutelle du pays par la France, à la suite de la signature d’un traité de « protectorat » en 1863.
Les milieux nationalistes instrumentaliseront pour leur part souvent ce déclin, en attribuant la responsabilité aux différents dirigeants qui s’étaient succédé et qui par intérêt auraient permis cette décadence. Il convenait donc d’après eux de les écarter pour pouvoir renouer avec les fastes d’antan. Ce retour à la gloire d’Angkor sera sous plusieurs formes le cheval de bataille de la plupart des dirigeants de la seconde moitié du xxe siècle
 
Royaume du Cambodge (1953-1970)
Le protectorat français intégré à l'Indochine se termine le 9 novembre 1953 par l'indépendance du pays, à la fin de la guerre d'Indochine. Devenu une monarchie constitutionnelle (dès 1947) dirigée par le roi Norodom Sihanouk, le pays affiche une politique de neutralité dans la guerre du Viêt Nam, mais dès 1966 ne s'oppose pas au transit par son territoire des troupes et des fournitures du Nord Viêt Nam à destination des combattants anti-américains du Front national de libération du Sud Viêt Nam (Việt Cộng).
 
République khmère
Confronté, à partir de 1967-68, à une insurrection fomentée par les Khmers rouges — des rebelles communistes d'inspiration maoïste —, avec une économie qui va de mal en pis, Norodom Sihanouk doit se résoudre à confier le 14 août 1969 la direction du gouvernement au général Lon Nol, son pilier militaire, connu pour son anticommunisme, en échange d'une aide américaine Le 18 mars 1970, Lon Nol, poussé par le prince Sirik Matak, de la branche Sisowath concurrente, renverse Sihanouk en déplacement à l'étranger (Moscou et Pékin) et instaure la république khmère. Devenu allié des États-Unis, le Cambodge est alors intégré à la stratégie d'endiguement du communisme en Asie du Sud-Est.
Avec l'appui de la Chine, les Khmers rouges déclenchent alors une véritable guerre contre les forces gouvernementales. En sus de cette guerre civile, le pays est entraîné dans la guerre du Viêt Nam. Dès 1970, les Khmers rouges sont en passe de gagner, mais les États-Unis interviennent intensivement (larguant plus de 2,7 millions de tonnes de bombes, faisant du Cambodge le pays le plus bombardé de l'histoire) et maintiennent provisoirement le régime républicain (avril-juin 1970). Cependant, lorsqu'en 1973 les États-Unis se désengagent de la région, leurs frappes aériennes ne parviennent plus à arrêter la menace communiste. Les Khmers rouges de Pol Pot, soutenus par la République populaire de Chine, prennent Phnom Penh le 17 avril 1975 et installent un régime autoritaire maoïste.
 
Kampuchéa démocratique et Khmers rouges
L'« Angkar » (organisation) des Khmers rouges applique alors une politique maximaliste, plus extrémiste encore que celle des Soviétiques et des maoïstes, visant notamment à purifier le pays de la civilisation urbaine et bourgeoise. Les villes, à l'image de Phnom Penh dans la nuit du 17 au 18 avril 1975, sont vidées de leurs habitants, envoyés en rééducation dans les campagnes.
La traque systématique des anciennes élites, « identifiées » parce que parlant des langues étrangères ou portant des lunettes (par exemple), ajoutée aux mines placées par les deux camps, à la malnutrition et aux maladies, aboutit à des massacres de masse et à une catastrophe humanitaire d'origine politique. Le chiffrage du nombre de victimes est un travail difficile et sur lequel les historiens ne sont pas encore parvenus à un consensus. Le chiffre de 1,7 million de victimes directes et indirectes est le plus communément admis.
 
République populaire du Kampuchéa
Le 25 décembre 1978, redoutant le chaos s'installant chez son voisin, le Viêt Nam envahit le Cambodge et provoque la destruction des rizières, entraînant l'effondrement du régime des Khmers rouges. Les autorités vietnamiennes installent un gouvernement proche de leurs intérêts et réorganisent le pays selon le modèle socialiste laotien et vietnamien. Une guérilla rassemblant des mouvements divers allant des Khmers Rouges aux mouvements royalistes appuyés par la Thaïlande fait alors rage dans le pays semant la destruction dans toutes les provinces. Des millions de mines sont alors disséminées à travers tout le territoire et nombre d'entre elles perdurent jusqu’aujourd'hui. Des centaines de milliers de réfugiés, repoussés par les combats, passent la frontière thaïlandaise et trouvent refuge dans des camps encadrés par l'armée royale thaïe (camps de Sa Keo, Nong Samet et Nong Chan). Durant toute la décennie des années 1980, le pays est ruiné et divisé au gré des combats. La malnutrition fait des ravages et les épidémies causent des milliers de morts alors que le pays ne dispose plus ni d'alimentation ni de médicaments.
 
Autorité provisoire des Nations unies au Cambodge
Après le départ des forces du Vietnam en 1989 et l'envoi de forces de l'ONU au début des années 1990, le régime retrouvera peu à peu un semblant d'autonomie tout en restant régulièrement dénoncé pour ses atteintes aux droits de l'Homme. Le premier ministre actuel Hun Sen, placé au pouvoir par le Viêt Nam, dirige le pays depuis cette période, et s'est maintenu au sommet grâce à trois élections douteuses successives dans un climat patent de violence politique. Le principal opposant, Sam Rainsy, s'est réfugié à Paris en 2005. Le roi Norodom Sihanouk, redevenu chef de l’État en 1993, a abdiqué une seconde fois en 2004 au profit de son fils cadet Norodom Sihamoni, ancien danseur classique et ambassadeur du Cambodge auprès de l'Unesco à Paris.
Le Cambodge est aujourd'hui confronté à une série de choix douloureux. Son économie, qui dépend encore très largement de l'aide internationale (en 2001, un tiers du budget de l'État provenait de donateurs internationaux), souffre d'une corruption très importante (pays classé 157e sur 176 de l'Indice de perceptions de la corruption Transparency International en 2012). De nombreux trafics (pierres précieuses, bois, filières de prostitution, drogues) en direction des pays voisins et un système judiciaire de qualité médiocre pénalisent le développement économique. D'autres problèmes hérités du désastre khmer rouge obèrent aussi le développement du pays comme la question des terres (le cadastrage, supprimé par les Khmers Rouges, est encore loin d'être finalisé) ou l'éducation, le système éducatif ayant été complètement détruit par les Khmers rouges (enseignants assassinés, etc.).
Actuellement, le secteur touristique et le textile (présence de grandes chaînes internationales de prêt-à-porter) sont les principaux pourvoyeurs de devises du pays. La stabilité politique établie sous l'autorité de Hun Sen attire nombre d'investisseurs étrangers et permet au pays de bénéficier d'un des plus forts taux de croissance de la région (+10 % par an entre 2004 et 2007).
En janvier 2011, des rivalités territoriales avec la Thaïlande autour du temple de Preah Vihear (patrimoine mondial de l'humanité UNESCO) entraînent des violences entre les deux voisins. Des bombardements visant le Cambodge font une dizaine de morts. Côté thaïlandais, deux soldats sont tués. Les tensions restent cependant limitées à la zone frontalière aux abords directs du temple et les échanges commerciaux entre les deux pays continuent à se développer.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cambodge
 

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