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Le diamant Sillon : Au 3e Festival de danse contemporaine à Hanoi

À l'occasion du 3e Festival de danse contemporaine de Hanoi, la Délégation Wallonie-Bruxelles au Vietnam présentera au public vietnamien et international le spectacle Sillon, mis en scène par Fré Werbrouck et interprété par Sara Sampelayo Fernandez.

Le diamant Sillon : Au 3e Festival de danse contemporaine à Hanoi
Le diamant Sillon : Au 3e Festival de danse contemporaine à Hanoi
Afin de promouvoir et mettre en valeur la danse contemporaine au Vietnam, et permettre aux artistes vietnamiens et européens d'échanger et de partager leurs expériences, les co-fondateurs du Festival de danse contemporaine que sont l’Institut Goethe et la Délégation Wallonie-Bruxelles au Vietnam poursuivent leur collaboration, en vue de préparer le 3e Festival de danse contemporaine qui aura lieu du 25 au 29 septembre au Théâtre de la jeunesse de Hanoi.

Durant cinq soirées consécutives, le public découvrira une grande variété de danse contemporaine européenne et asiatique. Pour sa part, la Délégation Wallonie-Bruxelles au Vietnam présentera au public vietnamien et international le spectacle original de Fré Werbrouck, Sillon, interprété par Sara Sampelayo Fernandez.

Sillon est un joyau brut. Un diamant enchâssé dans la composition de Boris Gronemberger, posé là, habité là, par la magnifique danseuse Sara Sampelayo Fernandez. Un instant de beauté lumineuse duquel on ne sort pas indemne… (…) En à peine 15 min de sensibilité à fleur de peau Fré Werbrouck a réussi à créer un style tout en état d’apesanteur ; une fragmentation de mouvements éthérés, de brouillages de sons, de cassures de rythmes, de silences et de murmures… On dérape sur un soupçon de mélodie, on tente de capter le particulier d’un son, l’identité d’un geste mais, évidemment, le propos est ailleurs, du côté peut-être de la pulsation extrasystolique, de l’aspiration vers le vide… ou vers la lumière… De Sillon on revient avec l’impression d’avoir parcouru une route étrange et d’avoir vu défiler de part et d’autre de cette ligne (a)rythmique des images qui se côtoient et se confondent dans une même impression tendue, celle de filer vers le quatrième millénaire en laissant derrière soi son ancienne peau reptilienne.

Plus d’informations sur la pièce: http://www.dicip.be/?id=3

20/09/2013 07:33